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Radiyam
• — • Y A M A N D A R A Recherches & Applications• — •
Parler de la mort
en toute simplicité.
Avec le cœur.
Mais aussi mettre à mort l’ego
dont l’orgueil se plaît
à maintenir l’illusion.
Et entamer le cheminement
des renoncements
à soi-même.
Des causes externes exposées précédemment (voir ci-dessous), venons-en aux causes internes. Car la vérité de la pandémie du Covid-19 nécessite d’en prendre connaissance, puis conscience pour la stopper.
Aucun vaccin n’est disponible pour cette vérité, si ce n’est l’effort individuel intérieur pour en neutraliser la virulence.
Le ver est dans la pomme.
Que les gouvernants comprennent bien ce qu’ils sont en train de faire au moyen de leur pouvoir de décision : dévitaliser, détruire, arracher l’esprit vigilant et éclairé de ceux qui s’efforcent jour après jour de soigner, rechercher, puis de mettre en lumière à la disposition de la collectivité (sans succès) les informations véridiques sur l’existence du virus.
Au nom de la santé publique, les gouvernants ignorent, ou feignent d’ignorer, qu’ils sont partie prenante de la manière ultra-négative de penser la situation. Ils se réfèrent aux lumières glauques du supra-système médico-pharmaceutique actuel, dont les protocoles de recherches, les applications vaccinales, sont en train de devenir une catastrophe... «épidémique» de non-sens.
Que les citoyens comprennent qu’en interdépendance, tous sont des gouttes de l’océan de pensée mondiale, devenu tellement acidifié, que leurs réactions verbales sont celles qui rendent malade la Terre entière. Et je sais que vous allez me reprocher les propos de cet article comme faisant partie de cet esprit de négativité. Mais la vérité n’a parfois rien de beau ou de bon, quand il s’agit de faire émerger au grand jour, les secrets et autres obscurantismes, maintenus dans l’ombre des mirages entretenus des alcôves de la pensée unique et formatée.
Le ver est dans la pomme.
Le ver est le virus. La pomme est le cœur de pierre ou ce qu’il en existe, avec lequel on traite les informations à partir d’intentions. Surinformation. Désinformation. Non-information. Un poison devenu automatique, pour une épidémie psychique des mentalités ! Coeurs empoisonnés, en effet.
Et grave : les enfants, encore sans formation de leur pensée, si ce n’est leur aspiration à la beauté de l’univers et de leurs purs rêves magiques, entendent et écoutent tout ce qui se dit. Ils croient – forcément – les adultes qui les entourent. Aujourd’hui ils attrapent le virus et certains sont malades. Vous captez le message ?
Les citoyens virtualisés, assistés technologiques, n’ont-ils encore pas compris leur responsabilité ? Non, ils dorment la tête baissée dans le smartphone. Les enfants sont laissés pour compte ! Leur éducation, ou ce qui devrait l’être, est absente, la transmission des valeurs de la vie et du bon sens est absente. Les enseignants sont pris à partie par des accès de colère de parents, quand leurs enfants n’obtiennent pas ce qui est escompté. Quelle arrogance !
L’impact est immense. Cela passe par les réseaux sociaux avec leurs accès de haine, critiques, préjugés et autres violences déversées gratuitement. Plus le nombre de ces messages négatifs est important plus la pollution de la pensée provoque une augmentation exponentielle en nuées denses de particules suspendues dans l’atmosphère. Car oui, depuis des décennies, la peur, la haine, la violence, la colère et autres sentiments négatifs de révolte sont les «spikes» de ces virus émotionnels et mentaux, dispersés à travers l’air que vous exhalez par votre discours, dans la totalité des situations vécues au quotidien. Et les plus susceptibles, les plus impulsifs en remettent des couches épaisses, de vengeance et autres réactions. A en avoir la nausée.
Oui, le virus Covid-19 est un virus psycho-émotionnel de la population humaine distribué par les ondes des «émotions technologisées». Quand une collectivité globale dégage des nuages de peur, le fait est diffusé à large échelle et devient épidémique. C’est précisément la réalité de cette
pandémie d’énergie psychique contaminant les mentalités !
Car, ce que la médecine ne prend pas en compte (il serait temps !) est l’origine psychique et émotionnelle de l’affaiblissement du système immunitaire. TOUJOURS. (Ici ne sont pas citées les maladies individuelles qui compliquent la situation. Et il est fort probable qu’avec ces co-facteurs pris en compte, nombre de personnes auraient pu être sauvées !).
Et non, pour ce virus, il n’y a pas de vaccin possible ! Quoi qu’on nous dise, quoi qu’on nous oblige par chantages interposés, le vrai vaccin se trouve en nous-mêmes !
Alors pensez un tant soi peu aux plus de deux millions de personnes décédées dans le monde. Et vous aurez une cartographie de l’état mental des attitudes émotionnelles de peurs qui ont présidé au départ de la plupart. Pas tous en vérité.
L’exemple de la mutation britannique du virus (et non «le variant» en français, imposé par une pensée médiatique globalisée !) est un non-hasard. Plus virulent, il se répand comme une traînée de poudre. La cause ? L’état psychologique d’expectative négative d’une population ultra-fatiguée, par un Brexit finalement entériné après des années de tergiversations. L’impact dans la pensée de toute la population britannique a créé avant la pandémie de multiples projections d’effets économiques, sociaux, politiques, culturels et autant d’incertitudes. Le Brexit une fois installé a créé un lourd nuage psychologique d’attitudes négatives dans toute la société, greffées sur les informations de la pandémie. De plus, la pollution atmosphérique et la saison froide et humide véhiculent plus vite l’ensemble des phénomènes, surtout dans les cités bondées. Mais l’aspect psychique principal est bien un vide énorme dans l’esprit des gens, quelle que soit leur position dans la société. Dont la vision du futur représente encore du vide. Pour l’instant. Tous ces chamboulements déstabilisent les fragiles équilibres.
Alors commenter la situation devient inutile. Jamais autant que maintenant est-il indispensable de se recentrer sur les nécessités plutôt que les désirs (purement émotionnels). Donner du sens à tout devient l’attitude positive à développer avec l’élan du cœur.
Simultanément, faire un effort intérieur pour changer de mentalité avec sa manière de penser en maîtrisant son discours, tenter de voir clair dans chaque situation individuelle avec bienveillance envers soi-même et les autres. Et faire parler l’élan du cœur, où solidarité et fraternité active apportent l’essentiel. De la vie réelle.
Alors les masques deviennent inutiles. Car sourire à l’autre, aux autres, devient le soutien du cœur coopérant de vraies relations. Et les «usages smartphoniques» sont relégués à leur vraie place d’outil de communication essentielle, plutôt que d’addictions réactives devenant souvent perverses et immorales.
Ainsi, le meilleur en soi pourra-t-il s’exprimer en l’autre. Et les solutions se feront vives, lorsque nous prendrons la mesure de nos égoïsmes dépassés. En vérité.
Respirez profondément en conscience, c’est ainsi que le cœur peut s’ouvrir au Beau, au Vrai, au Bon, les seules valeurs qui permettent de vivre libre.
L’article du mois d’août 2020 «Climat de tempête géante» a évoqué les effets du nouveau coronavirus-Covid-19 sur l’ensemble de la population. Mais, en cette seconde vague où tout se précipite, entre augmentation exponentielle de cas positifs, mutations virulentes et rapides du virus et accès à des vaccins (illusoirement victorieux), qu’en est-il des causes de la manifestation du virus à la surface de la planète ?
Pour l’instant, on devrait s’en référer à des médias (encore une fois) qui partout géopolitisent la situation, influencent les décisions gouvernementales, à partir des soi-disant experts médicaux, dont la chaîne est manipulée par les investissements de la très haute finance, qui forme un ghetto de sur-pouvoirs qui s’étendent en bras multiples tous azimuths.
Et soyons aussi très vigilants au chantage politique qui se développe partout pour inverser la tendance statistique du nombre exponentiel du refus de se vacciner, et imposer – sans l'ombre d'une déontologie médicale, ni du respect du libre-arbitre de chacun-e – des restrictions de libertés toujours plus lourdes aux populations.
Le virus n’ a que faire de toutes ces élucubrations.
Et il convient de comprendre le pourquoi de son existence dans la vie de la planète et tous ses habitants. Ce qu’il faut savoir en premier c’est que tout virus, bactérie ou microbe a son origine dans le sol terrestre. Ils sont enfouis et dorment depuis des dizaines de milliers d’années et peuvent refaire surface si le sol est maltraité.
On sait que le nouveau coronavirus provient de la chauve-souris, dont l’existence est assez particulière : insectivore, elle vit dans l’ombre des caves et grottes à température constante et chaude, et sort se nourrir la nuit grâce à son sonar. L’un des rares êtres vivants à ne pas supporter la lumière du jour. Tout un symbole. Son système immunitaire est tellement fort, que l’animal véhicule par l’air et la promiscuité de leurs groupes tous les microbes, virus et bactéries sans aucun dommage pour lui-même, mais avec une probabilité d’infection à d’autres mammifères, et surtout l’humain qui vit à proximité. C’est en étudiant le système immunitaire de la chauve-souris dans un laboratoire, pour promouvoir de nouveaux vaccins destinés à augmenter l’immunité humaine que tout à commencé.
Mais remontons à la source. Au constat du changement climatique global, il faut mettre en évidence la destruction majeure des sols terrestres par déforestation, incendies, désertification, sur-production extensive de l’agriculture dominée par les industries aux mirifiques bénéfices, et rendements possibles par manipulations génétiques et autres chaînes chimiques, ravageuses pour la biodiversité générale de notre Terre nourricière. Sans oublier la promiscuité de la mort des humains enterrés pour raisons religieuses. Ou autres. (cf. «De morts en lumières de vie», Kavi Publications). C’est d’ailleurs comme cela que les nouveaux virus Ebola, VIH –qui ne sont pas neufs en réalité –, se sont propagés. Et que les anciens virus comme la rougeole, la coqueluche ou les oreillons sont toujours actifs.
Le message devient clair il me semble, si l’on reprend tous les éléments en analogies qui se superposent. Et si l’on se réfère à la scandaleuse déforestation de la forêt amazonienne, dont la mutation brésilienne actuelle du virus est très certainement la raison première.
L’existence du virus Covid-19 contient un message très important pour l’humanité tout entière, que l’on soit un cas positif ou négatif. Car il prend sa source dans la Nature qui dit stop.
Stop à ces comportements humains destructeurs et irrespectueux de la vie elle-même. Stop aux habitudes d’un passé devenu révolu pour la collectivité humaine, où qu’elle se trouve ! D’où la pandémie.
Mais l’on continue à enterrer les corps malades du virus dans les religions monothéistes, au lieu de les incinérer. La Nature n’aime pas cela et le fait savoir ! Comment ? Par résurgence du virus et dans quelques mois, années, par pollution des sols provenant des individus enterrés avec la chimie des vaccins utilisés contre ce virus. Le serpent se mord la queue. Au lieu de faire tourner la roue de la vie.
Car la roue de la vie est entrée par la porte de la précession des équinoxes dans l’ère du Verseau pour environ 2000 ans depuis le 21 décembre 2020. Et que cette ère porte en elle la régénération autoconsciente et autoguérissable du système de santé humain, dont les maladies virales et infectieuses représentent le talon d’Achille des populations vivant en promiscuité et sans hygiène. Par cela est mentionné surtout le mode de vie occidental ! Mais ici on parle surtout d’hygiène énergétique, un art du juste comportement respectueux intégral du vivant, qui domine de très loin l’hygiène physique demandée pour l’arrêt de la propagation du virus dans la société.
Ainsi, le virus Covid-19 a-t’il un rôle essentiel à jouer dans nos vies, par hyper-synchronicité planétaire, dont il va falloir prendre acte rapidement à tous niveaux, et cesser de résister aux habitudes ancrées dans un sol qui les rejettent définitivement.
Entériner des accords commerciaux pour la soi-disante bonne gouvernance internationale n’autorise pas tout. Surtout quand on ignore (ou feint de l’être) les avertissements répétés des scientifiques de tous bords du monde entier versés dans le domaine depuis environ 25 ans.
Il ne suffit pas de prendre un compas, de tracer un cercle sur une carte pour déterminer où placer une antenne de téléphonie mobile de plus. En l’occurence la nouvelle technologie dite 5G. Lorsque dans un rayon de 300m, on trouve la totalité des écoles (environ une soixantaine de classes) depuis les classes enfantines jusqu’au collège, un établissement médico-social protégé et l’hôpital régional, sans parler de la zone résidentielle importante (plus d’une douzaine de bâtiments locatifs de plus de douze étages), alors on se dit que le degré de bon sens éclairé des autorités de l’énergie et de l’urbanisme est nul. Frisant l’inconscience.
Un manque de clarté décisionnel qui découle de manipulations lobbystiques financières, dont les intérêts personnels ne prennent absolument pas en compte le respect du Bien général, l’environnement, la protection durable de la santé publique et privée, ni la sécurité générale (inscrites dans la Constitution fédérale helvétique).
Il faut savoir que le choix technologique des hautes fréquences des télécommunications a été établi en premier pour des raisons militaires. Rien à voir avec la santé et la biologie du vivant (humaine et animale). L’adaptation de ces technologies à des fins civiles a pris en compte la capacité à développer des appareils, visant à industrialiser économiquement ces produits à très large échelle.
Cette technologie pratique a pris tellement d’ampleur dans le quotidien, qu’il n’est plus question de s’en passer. Mais comme tout ce qui touche à l’électricité, il y a toujours deux polarités à ce thème. Vous dites polémiques ? Vous avez raison. Et la face sombre est précisément d’avoir omis l’intégralité des phénomènes qui touchent la vie en ne gardant que la technologie. Pour des raisons qui nous semblent maintenant évidentes : la «supra-surveillance» des citoyens par des entités dominantes et leur endormissement de conscience pour les soumettre à un pouvoir centralisé global.
L’histoire se répète. Et les béats d’admiration devant les possibilités technolgiques proposées (des joueur videos aux scientifiques les plus aguerris) se fourvoient dans les applications prévues (y compris les agents de l’information dirigée), car l’élévation de la conscience du Vivant, y compris la planète Terre, se fera mémoire vive de ces illusions, en réagissant par effets boomerang répétés jusqu’à ce que destructions s’ensuivent. On ne pourra alors plus parler de vivre, mais de survivre. Et encore.
La technologie 5G est basée sur un réseau phasé d’antennes très proches les unes des autres pour diriger des faisceaux-projecteurs interactifs très puissants et balaient l’environnement de leurs rayonnements croisés en permanence. Avec à la clé de nombreux décalages et probablement des pannes répétées. Peut-on dire que nous allons vivre dans une radioactivité à terme ? C ‘est fort possible. En tous les cas, c’est l’image que cela nous donne.
Alors s’opposer à l’installation d’antennes 5G – il est urgent de stopper l’invasion – est même devenu risible pour les industriels, puisque tout à fait anti-démocratiquement, nombre d’anciennes antennes on été récupérées pour les nouvelles, déja installées en catimini. Un peu fort de café au pays de la démocratie directe, non ?
Les champs électromagnétiques naturels sont partout. Ils sont absolument nécessaires à la vie. Sauf qu’actuellement l’intensité du magnétisme naturel de la Terre s’est considérablement réduit. Ce qui a une influence importante sur tous les êtres vivants.
Les champs électromagnétiques artificiels (industriels) sont en augmentation partout avec l’avènement des technologies de communication. Ces dernières fonctionnent par paquets d’énergie, ce qui interfère régulièrement avec ceux dits naturels biologiques.
La biologie recèle une composante électromagnétique propre et bien connue, dans le fonctionnement des organismes. C’est ce fait qui a été intentionnellement éludé par les industriels, puisque nombre de fréquences de cette technologie sont des harmoniques de la biologie ! Donc dangereuses pour certaines.
Il est alors urgent de ne plus se voiler la face : en 1998 (!), un ingénieur Swisscom sur le site d’une multi-antenne régionale, assurait être conscient des nombreux problèmes de santé dus à l’exposition du rayonnement des radiofréquences et micro-ondes par des rapports internes de la société, mais «ne souhaitait pas se prononcer en public, car il perdrait son job.» (sic).
C’est donc bien de l’histoire ancienne. Connue et vérifiée.
Dans la biologie humaine, les ondes électromagnétiques se comportent de différentes manières selon les fréquences absorbées ou rayonnées.
Les ondes de hautes et très hautes fréquences (radio, télévision, radars, technologies cellulaires : smartphones, tablettes, wifi, domotique, satellites), induisent un rayonnement par résonance, et affectent les tissus biologiques par élévation thermique des tissus, ou non, dépendant de la dureté des ondes. L’échauffement est dû au déplacement d’ions et de l’irradiation des molécules d’eau (cellules) des milieux traversés.
Mais le côté pernicieux est non thermique. Il se situe au niveau de la structure mentale et émotionnelle des individus : au fur et à mesure des usages et de leur durée quotidienne, s’installe une baisse de vigilance, de raisonnement, de logique et même de l’intelligence du système de pensée. Et parfois s’inverse. Ou s’endort, comme suspendu.
Comprenez-vous pourquoi certains comportements deviennent bizarres, violents, hystériques ?
La dureté des ondes EM dépend du registre de leur longueur. Plus les ondes sont courtes et les fréquences élevées, plus elles sont dures. La 5G est donc beaucoup plus dure que la 4G, plus dure que la 3G. Le principe de précaution qui édicte l’éloignement de la source EM n’est valable que pour les basses et très basse fréquences (appareils domestiques usuels, éclairage, lignes à haute tension), mais non pour le rayonnement des radio-ondes et micro-ondes.
Par ailleurs, les antennes sont toutes des relais–supports de courants atmosphériques de basse pression. L’atmosphère s’est considérablement densifiée ces vingt dernières années, et fait non reconnu, cela augmente la température de l’air comme co-facteur du changement climatique ! Davantage que les émissions de CO2. Et, quand l’air est humide ou par pluie, l’absorption biologique humaine est augmentée d’autant.
En matière de santé, les problèmes détectés sont nombreux, car tout le monde réagit à ces champs de façon individuelle, par sa sensitivité globale: cel va de l’insomnie aux cancers, en passant par des éléments à toujours prendre en considération à long terme : l’effondrement du système immunitaire (les champs EM maintiennent en suspension les virus circulant dans l’atmosphère générale et confinée, même à l’hôpital...), les hypertensions des systèmes nerveux et cardio-circulatoire pertubés, la mutation des protéines et acides aminés de la chaîne ADN et parfois leur rupture, les dysfonctionnements au niveau cellulaire, la modification temporaire ou continue de l’énergie psychique et mentale par interférences d’ondes du cerveau et technologiques. En bref, des coûts énormes pour la santé, que l’on pourrait éviter. Mais qui font le beurre de certaines industries accrochées à leurs chiffres d’affaires. Et les décisions politiques dépendent toujours de l’économie pour remplir les caisses de l’état. Un cercle vicieux, loin, très loin d’une éthique du Bien commun et d’une sécurité véridique des populations.
Se protéger au moyen de gadgets à placer sur les écrans ne tient malheureusement pas à long terme. Dans un premier temps, tout ira bien. Petit à petit, ils vont se charger de cette énergie délétère et inverser la polarité de ce pour quoi ils ont été fabriqués. Alors ce sera pire que rien du tout et la nocivité s’amplifiera.
La protection fait appel au bon sens, à la vigilance et à la conscience éclairée, dans la gestion de ces ondes. La durée d’utilisation, la distance, les priorités d’usage sont essentiels. Le mode de vie, l’alimentation, la nature, la pratique de l’auto-guérison Tao et celle du Yoga de synthèse (non physique), permettent de maintenir un équilibre de vie de manière préventive.
Comme les politiciens n’écoutent «que» les experts pour prendre leurs décisions, les citoyens éclairés qui alertent les autorités sont finalement toujours mis de côté. Et la roue tourne toujours à l’envers.
Là où le bât blesse est l’absorption non voulue de ces rayonnements par des personnes sans smartphone ou wifi, qui sont obligées de se mêler aux gens dans les villes, transports, magasins, hôtels. La volonté de s’extraire n’est plus possible.
Entre la liberté de vivre tout simplement et celle de dessiner des caricatures blasphématoires, le libre-arbitre n’est plus ce qu’il devrait être.
Aux changements climatiques s’est invité un hôte inattendu qui les a effacés d’un coup. Un nano-hôte si puissant, qu’il provoque une tempête géante. Et gênante.
Et l’on parle encore du virus-couronne.
A un demi-pas du chakra couronne qui détermine le degré de conscience, donc de luminosité de qui sait penser, ou croit savoir. Comme par hasard, les tests du Covid-19 sont effectués dans les parois nasales supérieures, à un demi-pas du chakra frontal, qui détermine l’état de pensée de qui sait penser, ou croit savoir. Comme par hasard, nous est imposé un masque qui empêche de parler, de sourire, de respirer, de vivre quoi. Pour les bonnes raisons de qui gouverne, non, de qui règne sur la pensée unique, par le masque de la peur. Mascarade grandeur nature et manipulation menaçante à échelle mondiale. La tempête géante se noie dans un verre. Non pas d’eau, mais de pollutions politique, technocratique, médiatique, informatique. De tiques quoi.
Les tiques de l’éthique.
A coups de millions de «cas positifs», de centaines de milles morts, de milliards de dollars investis pour une «dépathologisation médicalisée», dans les faits, l’endormissement généralisé s’insinue dans nos existences comme des traînées de poudre. Et si vous avez bonne mémoire – encore ? – la poudre a été inventée en Chine il y a bien longtemps. De la poudre à canon à la poudre aux yeux, il n’y a qu’un pas ! Réveillez-vous citoyens !
Le combat est celui de la démocratie !
La démocratie muselée, si vous ne l’aviez pas encore noté !
Le masque est celui de l’absence totale, complète, générale du débat démocratique. Et imposition forcée de restrictions de nos libertés fondamentales.
Les médecins, les chercheurs, les scientifiques sont dans le collimateur.
Les politiques, les gouvernants, les dirigeants, les partisans sont dans le collimateur.
Les financiers, les investisseurs pseudo-humanitaires qui «offrent» de quoi inventer des vaccins sont aussi dans le collimateur.
Citoyens, sachez que vos smartphones contribuent à proliférer le virus ! Il se cache dans vos données (tout comme un virus informatique), que vous transmettez par les antennes de 3 G – 4 G – 5 G, qui ensemble densifient et enflamment l’atmosphère en même temps que vous envoyez vos messages, incendiaires ou pas. Cette technologie de rayonnement n’est de loin pas celle de la conscience irradiante !
Citoyens, sachez que la cause scientifique des conséquences du Covid-19 est ce qui est nommé une tempête de cytokines, provoquant une hyper-réaction du système immunitaire qui s’emballe.
Restons scientifiques et disons tout haut ce que les épidémiologistes et médecins constatent tout bas sans le déclarer : les cytokines sont des signaux protéiniques du système immunitaire. Elles sont organisées en réseaux de communication. Cela vous parle-t’il ? Parfois la communication est tellement intensifée – cela vous parle-t’il encore ? – que les signaux cellulaires «se marchent dessus» et s’emballent.
Alors, il se crée dans le système immunitaire un «changement climatique» inflammatoire qui se rebelle, en créant une tempête géante. La réponse à cette communication incendiée et totalement confuse est une énorme défense immunitaire qui se manifeste et altère surtout les fonctions respiratoires.
Que faire pour re-normaliser la communication cellulaire : se soigner par des moyens naturels comme l’homéopathie (les remèdes existent depuis des siècles pour tous les stades connus ! ) et briser les agents biologiques produisant des quantités énormes de mucus dans les voies respiratoires, en absorbant des anti-oxydants, des vitamines des groupes B, C et E à doses plus élevées. Manger sainement légumes et fruits. Et respirer de l’air pur. Que vous aurez nettoyé par un état de pensée purifié de toutes ses pollutions messagères. Mensongères....
Citoyens, sachez encore que nul vaccin ne peut vous protéger de la stupidité organisée et basée sur la peur de la maladie que l’on veut vous faire porter. Sachez encore qu’un virus peut être manipulé en laboratoire. Et qu’il est possible de le maintenir vivant pendant des décennies, dans n’importe quel organisme biologique. Et sachez qu’un vaccin quel qu’il soit va MASQUER toute manifestation dudit virus ! Pendant des années. Et vous rendra alors vraiment malade....
C’est ce que vous souhaitez ?
Citoyens, vous êtes maintenant vraiment informés. Otez les masques de vos consciences endormies. Réveillez-vous !
Cessez de sur-communiquer virtuellement pour ne rien dire.
Echangez des messages bienveillants dans la relation directe et simple.
Ce virus n’est pas n’importe quoi : il demande à chaque habitant du monde d’aller à l’essentiel de la vraie vie. Réalité et intégrité.
C’est cela, la vraie immunité.
syl–vie touranne
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Le racisme de l’anti-racisme
Le racisme brut répondant à l’anti-racisme des manifestations planétaires à la suite de la mort de George Floyd est une loi barbare qui s’oppose à la revendication première.
Le poing levé, signe d’opposition des «Black Lives Matter». On l’a tous vu aux Jeux Olympiques de Mexico en.. 1968. Année de l’assasinat du Révérend Martin Luther King aux Etats-Unis. Rien n’a changé depuis. Dans ce pays qui se veut champion de la démocratie et donne des leçons au monde entier par la violence militaire et policière, c’est très très paradoxal.
Domiciliée un temps dans le quartier des ambassades de la capitale, je sors un matin de 1989, je devrais dire je tente de sortir pour me rendre à mon bureau. Impossible. Des barbelés devant la porte d’entrée de mon bâtiment et quatre policiers (!) sur un homme à terre, chacun un genou sur la nuque, sur le dos et sur les jambes. L’homme, un Kurde. Aux abords de l’ambassade de Turquie. Un soi-disant révolutionnaire du PKK. Pas bon du tout pour l’image du pays en question. On est en Suisse... Pays de la démocratie directe (non pardon, semi-directe et cela change pas mal de choses !).
Londres, Parliament Square Westminster, 2020. Le centre même du gouvernement britannique. Un amas de gens, des pancartes et des vociférations. On salit et veut déboulonner la statue en bronze de Winston Churchill. L’un des acteurs, sinon le plus important, de la Libération de la Seconde Guerre mondiale. Bien loin des revendications premières de la dignité demandée par les Black Lives Matter considérés depuis si longtemps comme sous-humains de seconde zone parce que leur couleur de peau les a placés dans l’histoire dans le registre des esclaves.
Que d’amalgames ! Mais où va-t-on ? Quels sont ces troupeaux de populations qui ignorent stupidement tout de la marche effective du monde ? Qui sont ces individus qui manipulent des moutons, réputés grégaires parce que sans discernement individuel ?
La récupération, à nouveau, par des groupuscules extrémistes, aux idéologies du passé, profiteurs de pouvoirs qu’ils se croient en droit d’exprimer à travers des masses sans éducation aucune. C’est grave.
Car, au nom de la liberté d’expression, la liberté de se rassembler, la liberté de considérer des erreurs du passé, on veut tout balancer, n’importe comment et surtout par la violence. Mais de quelle liberté parle-t-on ?
Les jeunes en esprit, en lucidité, en discernement, mais pas forcément en âge, qui de plus s’échangent par réseaux sociaux des idées de plus en plus déviantes, ne maîtrisent strictement rien des images qu’on leur balance, parfois, souvent (?) de façon subliminale à travers tous les médias confondus.
Et on retrouve à la clé des comportements, violences et révoltes, haines viscérales, et mélange des genres. Pour exprimer sa colère contre l’autorité. Sans auto-responsabilité ni création de solutions.
Il serait judicieux de remettre en question ces débordements, et que les enseignants passent quelques heures à remettre les pendules à l’heure de la civilité citoyenne ! Il serait temps. Mais sont-ils aptes à le faire ?
Car voir déboulonner certaines statues, et celle de Christophe Colomb en particulier en divers endroits des USA, démontre significativement l’ignorance crasse et stupide de la réelle personne historique, mais surtout de son intention véridique et inspirée divinement, qui a permis au monde entier de cette époque lointaine (et non celle d’aujourd’hui - pour les manifestants) de découvrir l’existence d’une planète sphérique, habitée par une multitude de différences, humaines, géographiques, biologiques, culturelles et cosmiques. Alors n’attribuons pas à Christophe Colomb ce que d’autres qui l’accompagnaient ont effectué. Et remettons les pendules à l’heure de l’évolution planétaire, dont il a été l’acteur conscient pour la postérité !
Râler pour râler et faire l’impasse sur les cours de n’importe quel cursus est une absurdité sans nom et une perte de temps. Quel que soit l’objectif couru.
Mais il est vrai que l’inertie des politiciens, des décideurs, des soi-disant philosophes qui remettent constamment l’ouvrage du passé sur le métier les décrédibilise fondamentalement, à l’heure présente et sonnée par ses multiples cloches, où la nouvelle société consciente réclame haut et fort l’inclusivité, l’égalité, l’unité et la cohésion bienveillante de humanité en se débarrassant de la séparativité alimentée, sourde et aveugle des pouvoirs en place.
Car les manipulations en tous genres et quelles qu’en soient l’origine, ont TOUJOURS pour source unique la polarisation émotionnelle et mentale des dualités organisées et séparatrices de ceux qui restent assis sur leurs pouvoirs obsolètes. Et cela passe toujours par deux vecteurs de choix : celui de la peur à n’importe quel niveau et celui de la parole à tort et à travers. Le cocktail idéal(isé) d’où partent les violences. Dans tous les coins et recoins des relations (in)humaines.
L’été qui s’annonce sera peut être gris et frais dans le ciel qui s’amoncelle de nuages remplis d’aigreurs, mais il sera chaud et congestionnant dans les têtes de qui doit impérativement remettre en question les priorités, responsabilités, aveuglements, afin de transformer et prendre en compte la totalité effective de la société humaine en devenir de justes relations, conscientes, compassionnelles et si possible divinisées par l’action impersonnelle du cœur à offrir à chacun, pour tous.
sylvie touranne
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Le monopole du masque
Depuis plusieurs mois, la vie avance masquée. Car la peur a tout envahi. Même l’intelligence brillante de ceux qui croient savoir penser. Surtout chez ceux qui usent de leur pouvoir. Cols blancs, ou blouses blanches, tee-shirts blancs c’est égal. Car vous l’avez remarqué : ceux qui usent de leur pouvoir ne portent pas de masque. C’est un signe.
Il y a ceux qui disent qu’on est en guerre. Et ils ont raison. Mais ce n’est pas celle qu’ils croient. La bombe est nucléaire. Mais ce n’est pas celle qu’ils croient.
Mini-bombe que ce virus en effet. Et maxi-défense au sein du système de coordination qu’en biologie on appelle le système immunitaire. Les armées elles, se nomment globules blancs. Des super-armées en effet, aux effectifs bien trop nombreux pour éradiquer un agent squatteur dans l’organisation de nos habitudes de vie. C’est que l’agent, manipulé par des directives ciblées, le minuscule personnage s’est rebellé, s’est infiltré, pour jouer les espions et déstabiliser la marche des habitudes. Sauf que les habitudes, ce n’est toujours pas celles que l’on croit. Et cela a créé une tempête, un énorme oouragan, un cyclone chez ceux qui étaient déstabilisés par la peur. La peur du changement climatique ? Oui par exemple. La peur de changer. La peur d’aimer. Alors, il y a ceux qui en ont profité. Et les super-armées se sont multipliées. Parce que les généraux en chef en ont donné l’ordre. Ah oui l’ordre ! Et comment font les généraux ? Ils transfèrent une information. Ah oui, une, «des informations». Désinformations !
«Fake news» quoi !
Des généraux qui désinforment leurs armées ? Mais quand on est vraiment intelligent et qu’on sait user sagement, utilement de son pouvoir, on les emprisonnent ces généraux, non ?
Voilà la toute petite histoire de notre réalité, que personne n’a comprise à ce jour. Et le système médical en première ligne. Et le système économique en seconde ligne. Et les généraux qui font partie de tout ces systèmes.
Reprenons : le virus attaque le système immunitaire. Les personnes dont le système immunitaire est faible sont beaucoup plus gravement atteintes. Les protocoles médicaux habituels des soins intensifs ne fonctionnent pas. Certaines sous repirateurs vont mieux et tout à coup elles décèdent. Ce n’est pas normal. Dans les faits, le système immunitaire effectue une hyper-réaction que l’on nomme tempête cytokynique. La maladie et la mort sont donc dues au système qui réagit trop fortement ET NON AU VIRUS ! Le cyclone ! Il produit trop de cellules macrophages (les informateurs commandés), qui à leur tour produisent des armées de globules blancs. Beaucoup trop pour gérer la situation. Et finalement désinforment l’entier du système immunitaire.
Et là, la vaccination devient inutile !!!
Il conviendrait alors de trouver le moyen de contenir l’hyper-réaction immunitaire, de manière à contrôler son action. Un vaccin ne le peut pas. Mais la compétition économique du système en place refait surface, dont les sommes faramineuses sont une perte de temps et d’argent mal placé.
Les macrophages qui envoient les informations-désinformations aux globules blancs, provoquent une SURINFORMATION du système immunitaire qui va proliférer et SUR-REAGIR. Ce qui correspond en tous points à la réalité du système actuel des MEDIAS, où les désinformations sont le quotidien de la sphère mentale de chaque utilisateur, par tous les réseaux et toutes les technologies.
Le Coronavirus-Covid-19 n’a donc que faire des systèmes en place : médical, économique, médiatique,.... Et l’information essentielle devient : stopper tous ces systèmes obsolètes, pour en créer de nouveaux, où chaque individu aura sa vraie place de citoyen responsable, dans le respect des lois universelles qui gèrent l’ensemble des paramètres de la Planète Terre.
sylvie touranne
L’homéopathie qui fonctionne comme système de traitements thérapeutiques basé sur l’information, possède depuis toujours des solutions de réharmonisation, d’équilibrage du système humain global, biologique, émotionnel, mental, spirituel.
Celles mises en place depuis le début de la crise par le centre Yamanda R.A., donnent des résultats de guérison probants et effectifs.
Pour vous soigner, pour un conseil, écrivez à : yamanda.ra@vtx.ch
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Coronavirus-Covid-19: la crise et ses signifiances profondes
Une telle crise amène forcément des destructions. Elles sont similaires à ce qui a été vécu dans le monde pendant la deuxième Guerre mondiale. Ce n’est pas un hasard.
Si l’on réfléchit au moyen de l’astrologie de synthèse (occientale/tropicale – védique/sidérale), on constate combien les cieux ont déchargé d’énergies sur la Terre et ses habitants pendant les derniers mois. Entre mort et rétablissement. Entre peur et désespoir. Entre irresponsabilité et raison d’être. Entre solidarité et tolérance.
En fait, la crise se préparait depuis quelques temps. Lorsque Saturne en Capricorne s’est retrouvé «à la maison» en décembre 2017, après un cycle d’environ 30 ans. Et l’on sait que Saturne est le Seigneur du Karma.
Tandis que pour la mystérieuse Pluton, avec son cycle de 248 ans environ, nous n’avons que peu de recul quant à son comportement dans le signe du Capricorne (elle fut découverte en 1930, alors qu’elle traversait le signe du Cancer, opposé au Capricorne, pendant les années qui suivirent la grande dépression de 1929. Et celles préparant la seconde Guerre mondiale). Pluton a une énorme énergie souterraine, inversement proportionnelle à sa taille, qui est en train de secouer l’entier de la vie planétaire, pour se débarrasser de l’ancien, du vieux, du dépassé. En suivant son cycle et ses qualités spécifiques, on note que Pluton est entrée dans le Capricorne en novembre 2008, précisément après le pic de la crise financière qui mit le monde à genoux.
Cela signifie que des sujets comme la finance, l’économie et la monnaie font partie intégrante de ce plan karmique mis au jour ces derniers temps. Entre autres, les intérête financiers personnels qui infiltrent très facilement les institutions pour exhiber leurs pouvoirs de domination et de contrôle. Mais pas uniquement. Des comportements politiques se développent aussi, au nom du contrôle de la situation, sous des formes de chantages, en sabotant les valeurs de liberté démocratique. Alors que d’autres tentent de faire de leur mieux pour organiser des stratégies différentes pour le bien de leurs populations.
Ensuite, toujours en Capricorne, Saturne a rejoint Pluton pendant trois mois : précisément ceux pendant lesquels a explosé le coronavirus à la surface de la Terre, entre mi-décembre 2019 et mi-février 2020. Une période de destruction karmique généralisée de tout ce qui ne sert plus à la société. Donnant un peu d’espace pour l’émergence de structures différentes, dans le but d’organiser une nouvelle société, plus responsable, plus mature et plus compassionnelle. Un immense travail en effet.
Puis c’est au tour de Jupiter d’être entré dans l’aura de Pluton à la mi-mars, jusqu’à la mi-mai prochaine, période pendant laquelle le confinement à pris place à travers toute la planète. Les trois planètes ensemble on démoli pas mal de choses. Et c’est ainsi. Il est intéressant de relever que ces très rares positions planétaires dans le signe zodiacal du Capricorne en un amas (clusterum) de très fortes énergies – cette configuration ne s’est pas produite en plus de 10 millénaires –, démontrent de très puissantes actions cosmiques, qui seront très utiles aux changements ô combien nécessaires au sein de l’humanité. Immense travail en effet qui demande si possible une conscience aiguisée et... pas mal d’éthique.
La présence de Pluton en Capricorne comporte deux facettes. L’une, sa force positive qui nécessite de changer définitivement les vieilles habitudes. Dans toute la société : en commençant par la dualité des politiques partisanes et l’économie. Mais aussi réaliser un passage collectif de l’humanité vers un mode de vie plus spirituel, où se partagent les vraies valeurs du cœur. Et ce n’est pas peu dire. Pluton nous enjoint à démolir nos situations cristallisées, pour recommencer sur de nouvelles bases.
La seconde facette est celle du côté sombre, qui n’est jamais loin. Ce à quoi nous sommes confrontés en cette période de coronavirus nous montre aussi les secrètes manipulations qui donnent aux «fake news» un peu plus de pouvoir pour sa période «dorée»....
Etrangement, porter un masque pour nous protéger du virus, signifie en fait «taisez-vous et arrêtez de parler pour ne rien dire» ! Une telle synchronicité nous donne un signe évident : celui de nous tourner vers notre Soi intérieur, écouter puis entendre notre Voix intérieure nous dire comment changer de mentalité, d’habitudes, débloquer des énergies positives pour se reconnecter avec le bon, le beau et le vrai en nous, et créer une nouvelle réalité plus heureuse, de projets plus cordiaux et amicaux pour les décennies à venir.
Avec Saturne à domicile en Capricorne, la puissance de Pluton est décuplée en valeurs collectives, cachées derrière un masque (encore !) qui doit absolument être ôté en temps et en lieu pour renverser tout à tous les niveaux.
Pluton, au niveau des nations, en effet imprègne les énergies qui gouvernent la Chine, entre autres. Ce pays porte en lui encore de très vivantes énergies et habitudes d’une très ancienne civilisation multimillénaire, que certains nomment l’Atlantide. Et l’on sait que l’Atlantide a été détruite par l’usage erronné des pouvoirs les plus élevés. Et voilà que ces situations se répètent sous nos yeux, non seulement en Chine, mais en divers lieux de la planète !
Si l’on nourrit une certaine compréhension de la numérologie, les mots «coronavirus» et coronavirus/Covid-19» ont tous les deux la valeur 11, ou double un, ce qui s’adapte parfaitement aux énergies du Rayon Un, de Pluton et du Capricorne. Volonté de changer. Volonté de purifier. Volonté de détruire. Dans les deux directions : pour le bien et pour le pire. Ce dernier étant le premier, du point de vue de la dualité humaine (11/1 + 1 = 2), sa signifiance inférieure. Jusqu’à ce qu’émerge la volonté d’équilibre, qui finalement apporte une sérénité illuminée et un nouveau sens de la vie. Ce sera pour plus tard. Soyons prêts.
Le maître nombre 11 nous montre aussi l’importance du terme chinois Tao ou équilibre entre les polarités yin et yang. Ce que les maîtres chinois du passé comme Lao-Tseu et Tchouang-Tseu offrirent de mieux au monde en matière de sagesse. Mais le monde s’en «balance»...
Mais alors, qu’en est-il de ces informations et la crise du virus ?
Nous devons considérer cette crise comme un instrument de la Vie, qui précipite, physiquement, émotionnellement, mentalement, tous les aspects de notre compréhension dans une sorte de séisme intérieur, pour nous secouer assez et créer une déstabilisation générale jusque dans les fondements de la société.
Nous devons comprendre que nous avons été trop loin. L’humanité continue sa quête effrénée de possessions matérielles, malgré les cris et invocations pour un équilibre plus sain, une égalité de traitements, un partage des ressources et la bienveillance conviviale des relations dans le monde.
La satisfaction exclusive et égoïste, orgueilleuse, des désirs devrait un jour finalement être remplacée par le discernement des besoins et actions. Inventer un monde nouveau, plus lumineux, plus spirituel (donc conscient, non pas religieux), mieux relié avec le Divin en soi, qui transpire les valeurs du cœur ouvert, est précisément ce que requiert le maître nombre 11, pour pouvoir entrer pleinement dans l’ère du Verseau que représente ce nombre sacré entre tous.
De retour à Pluton et son amas planétaire énergétique puissant, cela nous révèle aussi une sorte de paradoxe à l’arrière de cette minuscule entité vivante (le virus) qui nous secoue depuis des mois. Et cela nous est donné par ces entités hyperpuissantes, qui tentent de manipuler le monde entier au moyen de comportements obsolètes, portant les énergies de pouvoirs de domination et de contrôle : le(s) Big Brother(s), aux poches débordant d’argent sont présents dans tous les coins. Pire, ils sont là pour diriger les actes décisionnaires et les protocoles médicaux. Et les vagues de destructions sont comme des tsunamis qui se reflètent dans les medias, incapables de discerner le bon grain de l’ivraie. Ainsi, des tempêtes de négativité, de panique se propagent à travers les populations, qui deviennent chaque jour plus difficiles à supprimer. Et produisent une atmosphère délétère sous des nuages d’anxiété.
Il est alors important de reconnaître et apprendre comment ces énergies fonctionnent, lorsque l’humanité arrive à un point de non retour. Avant qu’elle ne s’auto-détruise par une vision matérielle, des comportements matériels, des habitudes matérielles dans tous les domaines de la société : politique matérielle qui tend au totalitarisme. Economie et finance matérielles, qui laissent la voie libre aux requins jouant les donateurs humanitaires, aux discours enfantins et aux ambitions sans bornes. Science matérielle qui fait des gorges chaudes de résultats manipulés. Humanité matérielle et robotisée par l’intelligene artificielle....
La situation actuelle est grave, assez pour endommager irréversiblement la planète et sa biosphère. Dans ces conditions de dégringolade imprévisible, SAUVER LA PLANETE DU CHANGEMENT CLIMATIQUE N’EST PAS ‘objectif principal..... parce que la Terre n’a pas besoin de l’humanité pour se sauver elle-même ! On peut aisément le vérifier dans la nature et dans tous les coins du monde pendant ce temps de confinement ! Pas de trafics, qu’ils soient de véhicules ou de personnes, moins de bruit, et davantage de chants d’oiseaux, la nature reprend ses droits, les animaux leurs territoires, l’air se purifie de ses lourds couvercles de pollutions, les lieux sont plus tranquilles.
Le changement climatique est là, bien là. Il représente la partie du contrat du futur de l’humanité que l’on ne peut changer, contrôler, ou «lutter contre». Qu’on se le dise.
Mais : SAUVER L’HUMANITE CONTRE ELLE-MEME EST EN SOI LE BUT PRINCIPAL. Et supprimer toutes les formes de pollutions pour amener la réalité du partage de l’essentiel. Pendant la crise du coronavirus, certains ont sacrifié leurs vies. Des patients, des médecins, des personnels infirmiers. D’autres meurent de protocoles erronnés dans les hôpitaux, de médications fallacieuses (un nombre effarant de patients développent la détresse respiratoire du stress psychique devenant léthal, après avoir été admis dans les services hospitaliers, pas avant) ! D’une crise sanitaire, c’est devenu une crise de l’information et de la science. Et par-dessus tout, une monstreuse crise de peur parmi les populations et les institutions, ayant vidé toute substance de bon sens.
La situation du coronavirus ayant en effet un profond impact sur la santé de chacun-e – malade ou pas, soigné de façon juste ou pas –, une série de questions se posent au sujet des mesures prises par les experts médicaux et les gouvernements.
Tout d’abord, on constate que l’information a été confuse depuis le début, cachée, faussée, déstabilisante. On constate également que l’expertise scientifique a créé la confusion, la portant finalement à sa portion congrue. Puis, les urgences ont conduit à des comportements totalement irrationnels dans les hôpitaux, et bien des médecins au front ont travaillé avec de faux protocoles, en profond désaccord avec ce que leur disait leur conscience et leur expérience individuelle. Ensuite vinrent les décisions politiques qui avaient de la peine à se faire une idée de la situation après des déclarations publiques contradictoires, mais voulaient sauver la face. Enfin et surtout, sont venues s’ajouter les statistiques épidémiologiques, offrant dans les medias graphiques et explications, comme une sorte de compétition des chiffres, pour démontrer à qui appartenait la meilleure idée de gestion de la crise. A ne recevoir que les nombres de cas et les morts. Mais parler du nombre de cas guéris ? jamais nulle part....
Que le virus ait été créé à partir de l’ADN modifié des chauve-souris (des mammifères si proches de nous !) en laboratoire, qu’une manipulation de laboratoire ait laissé s’échapper le virus au-dehors par négligence, au lieu de le garder sous très haute sécurité, que d’anciens rapports (très officiels) des années 1970 aient prédit une épidémie pour cette année (!), que le virus ait essaimé dans un pays ou un autre, la pandémie est véritablement installée, aussi vraie que l’est la grippe annuelle.
Alors la question suivante se pose : quelle est la vraie raison de cette «mascarade» (un masque de plus) ? Qui est derrière ?
Une possible réponse pourrait se diriger vers les dépenses actuelles monstrueuses – en dizaines de milliards – de certains, pour les recherches de vaccins, et pour la terrifiante vaccination mondiale qui se profile en suite, dont les produits pourraient contenir des substances très très loin de soigner, mais seraient plutôt des armes de destruction du système immunitaire humain à très grande échelle.
Se pourrait-il que l’humanité soit trop nombreuse pour ceux qui tentent de garder le contrôle sur... leurs bénéfices financiers ?
En offrant des montants astronomiques, résultant de manipulations boursières à des gouvernement et institutions naïfs, cela peut désigner une planification à long terme de la domination rigide de ceux qui veulent dominer le monde. Car ceux-là sont, depuis des décennies, «généreusement» et financièrement inflitrés au sein des institutions gouvernementales et n’ont en plus aucune connaissance médicale. «Big Deal», la bonne affaire. «Big Money», l’argent qui décide. A partir de «Big Data», les système d’informations. Et de «Big Brother(s), les dominations individuelles mondiales. Ainsi va LA synthèse.
«Big Danger», très grand danger en effet. Si nous, citoyens ne nous réveillons pas de ce mirage ! Certains luttent collectivement contre la perte de nos libertés fondamentales. Ils font comme ils peuvent. Mais nous citoyens, ne sommes même plus considérés comme des citoyens. Alors que par exemple l’on apporte des solutions de traitements qui existent depuis des siècles, pour les services hospitaliers et les personnes malades... mais il est vrai que l’homéopathie si bon marché n’a pas vraiment la cote auprès des mentalités à haut potentiel médical financier....
Alors, en ce temps de déstabilisation profonde, s’il vous plaît réveillez-vous ! Accédez à votre cœur si ce n’est pas trop demander ! Invitons-nous à inverser la tendance, véritablement : en «respirant l’espérance, en respirant de nouvelles idées pour le bien de tous, en respirant la bienveillance et la compassion pour tous, en respirant la solidarité, en respirant la liberté, en respirant l’action par le cœur avec amour inconditionnel et harmonie». Et laissons sur le côté les anciennes agressivités guerrières de comportements délétères et dépassés. Ainsi que les nouveaux magiciens noirs de la science dite toute-puissante.
Alors, une nouvelle civilisation, consciente de sa bonne volonté de faire le bien, peut réellement développer de nouvelles manières de traiter les affaires du monde, sur une planète illuminée de réalisations plus spirituelles de chacun-e, pour tous, au quotidien et sans condition.
Un coronavirus est celui qui nous fait éternuer et nous enrhumer. Il «s’a-grippe» à nos cellules immunitaires pour nous signifier que notre environnement immédiat contient une / des toxicité(s) que nous devons gérer au mieux, pour éviter que le système respiratoire ne s’emballe en divers symptômes plus graves.
Corona ou autre appellation, un virus – n’importe lequel – a une fonction particulière dans le monde du Vivant. Tout comme la bactérie d’ailleurs. Cette fonction ne varie jamais. C’est la raison d’être de ces particules : elles donnent des informations. Et c’est pourquoi elles «squattent» des cellules pour tenter d’en modifier l’ADN, maître du système de l’information de notre organisme.
Comme l’ADN du cœur des cellules est un réservoir d’empreintes génétiques pas toujours parfaites, dont l’énergie est magnétique, l’information d’origine peut être attirée ou repoussée vers le virus, selon un processus dirigé par la supraconscience (inconsciente) de l’individu.
Ainsi, peut-on dire que le virus est un vecteur de purification, de transformation, de modification de l’organisme qui va peu à peu s’affiner, pour donner à la génétique une forme nouvelle et plus adaptée à l’existence de l’individu. Et son évolution au sein de la Vie.
Ceci est une description de la nature existentielle d’un virus.
Sauf que, malheureusement, depuis la pasteurisation des aliments, et la vaccination à outrance devenue technologique et remplie de métaux lourds (aluminium, mercure,...) le système général mondial de santé publique se trouve sur des rails dirigés par les industries médico-pharmaceutiques, dont la cible est la population mondiale grandissante et l’objectif principal, les chiffres d’affaires en hausse continuelle pour des bénéfices nets d’ampleur toujours plus faramineux. Les moyens d’y arriver sont eux extrêment simples : instiller la peur à tous les niveaux de la société. D’abord par les protocoles médicaux. Puis au sein des gouvernements. Ensuite par les médias qui relayent la peur en maniant les mots de manière extrêment dangereuse. Et enfin la population, dont actuellement certains citoyens indignes, car indignés par leurs peurs viscérales et psychismes déviants, attaquent violemment ceux par qui le virus est véhiculé. Dont résulte des sentiments de haine.
A ce système général obsolète, la transparence et l’intégrité n’ont pas encore leur mot à dire. Tant les malattitudes et malintentions obscurcissent les voies par des mentalités d’un passé à dépasser de toute urgence.
Alors là, le nouveau coronavirus présente toute son évidence destructrice pour obliger l’ensemble du système à changer. Et nous, populations faisons partie de ce système.
Comprenons que ce nouveau coronavirus, focalisé sur le système respiratoire – fondement de la vie – nous informe précisément que nos mentalités nécessitent un changement drastique.
Il est né en Chine, ce n’est pas un hasard. La plupart de la société chinoise vit encore selon des habitudes antiques. Où une immense part de la population des campagnes est venue s’intaller en mlilieu urbain, pour y travailler selon des méthodes très différentes de ce qu’elle connaissait. Les habitudes d’hygiène en particulier sont bien loin des standards internationaux, et l’adaptation ne se fait pas aussi simplement. Sur les marchés, les échanges commerciaux de produits frais se font à l’ancienne, où bien des animaux sont vendus vivants. Raison pour laquelle le nouveau coronavirus a été détecté sur un marché.
L’origine est une contamination dont la source est toujours la même : la chauve-souris.
En 2003, l’épidémie de SARS avait résulté des mêmes conditions.
Il est intéressant de faire le constat suivant : Louis Pasteur a inventé le premier vaccin en 1885, à partir de ses études sur la rage des moutons. Mais il ne connaissant pas la source vecteur de cette maladie : la chauve-souris. Déjà.
Parce que la médecine occidentale ne s’occupe que des effets visibles des maladies, on a perdu plus d’un siècle à ne pas s’occuper des causes en remontant à la source ! Il serait temps de le faire, c’est une urgence de santé publique ! Et de changement de paradigme pour désabonner la population mondiale aux grippes saisonnières et autres symptômes similaires, dont les vaccins ne font qu’empirer l’effondrement du système immunitaires des personnes, année après année. Ce qui donne crédit à l’homéopathie classique (et non celle de pratiques déviées, par violations des règles fondamentales), qui prend en compte l’ensemble des symptômes du terrain constitutionnel d’un individu, à partir des symptômes déclarés à un moment. Une médecine de l’information justement.
Pourquoi la Chine a-t-elle développé ce nouveau coronavirus en épidémie, se propageant dans tout l’Extrême-Orient, puis vers nos contrées occidentales ? Le virus est signe de changement en profondeur, que la société chinoise tout entière doit entériner sous forme de nouveau paradigme social et politique. Un virus est toujours très, très mobile. Il se propage vers l’Occident, d’abord parce que la rotation de la Terre est toujours la même et qu’un train en rade à Pékin, fait que le mouvement planétaire va le rejoindre tôt ou tard. Ensuite parce que nous devons comprendre l’impérieuse manifestation de la globalité de ce que certains utilisent chaque jour en «partage des informations», pour une humanité une et indivisible.... L’essence même de l’interdépendance énergétique.
Prenons acte aussi du fait que toutes les personnes qui décèdent de ce nouveau coronavirus, se sacrifient pour la collectivité humaine inconsciente, en faisant don de leur vie pour l’avancement du bien général de la société mondiale. Peu importe où sur la planète.
A méditer.
Disons encore que du vrai lait frais non pasteurisé (!), provenant de vraies vaches, avec des cornes et des pis normaux, élevées dans un esprit véritablement respectueux des lois naturelles, donc non génétiquement modifié, est un remède imparable pour soigner les symptômes respiratoires. Gageons que ce changement de mentalité aura aussi un effet sur les agriculteurs et leurs productions, actuellement vendues en liquides blancs et morts, sans aucune valeur, dans des boîtes en carton.
La grandeur de l’Orient et ses philosophies avancées pendant des millénaires, qui ont tant fasciné le monde, est aujourd’hui un peu à la traîne, par rapport à la nouvelle civilisation qui se met en place avec de nouvelles énergies et de nouvelles approches sociales.
Il faudra plus tard qu’une synthèse générale puisse voir le jour, où le meilleur de l’Orient et le meilleur de l’Occident se fondent l’un dans l’autre. Alors la nouvelle civilisation de l’humanité entrera dans un Age d’Or. Que nous sommes en train de préparer avec tant de difficultés, tant d’aberrations, tant de résistance, tant d’oppositions dûs à nos habitudes qui ont formé notre système sociétal aujourd’hui obsolète.
Faire grève est très tendance en ce moment. Toujours pour réclamer et non pour proposer. Et, depuis qu’une écolière de 16 ans a fait l’impasse sur ses études, pour manifester «contre le réchauffement climatique» et ses demandes de régulations politiques, allant jusqu’aux rencontres mondiales des plus puissants gouvernements, elle a fait des émules dans le monde entier : les étudiants, partout, sont ravis de «courber» les cours du vendredi, de «gronder vert» là où ils le peuvent, de se coucher au milieu des rues avec force bannières et revendications, de rire rose ou jaune, d’engloutir des litres de drinks énergétiques au goût de cornes de taureau, pour mieux vomir leurs désaccords, sans prendre la mesure de leurs stupidités. Parce que tout cela est fort loin d’une inspiration collective cohérente et responsable. L’instrumentalisation et la manipulation collent à la peau de qui se croit engagé ainsi. Malheureusement.
De canicules en réchauffement planétaire, il semble que trop peu de voix s’èlèvent encore, pour aborder la source, vraie, de nos observations.
Il semble aussi que les formattages scientifiques une fois échauffés par des mesures dirigées et projections à court terme, sont également altérés par ... les canicules intellectuelles. Trop c’est trop.
Quand va-t-on enfin comprendre que le réchauffement planétaire n’est pas dû à l’activité humaine ? Mélanger les sources de responsabilités entre réchauffement planétaire, changement climatique et pollutions environnementales, c’est juste honteux de la part des scientifiques.
Une manière habituelle de «faire peur» aux populations par medias interposés, qui eux ne sont juste plus crédibles du tout. Des médias, des scientifiques et des politiques, qui possède la palme des pires déclarations invitant chacun/e à paniquer un peu plus chaque jour ? Là où il y a pouvoirs et sommes d’argent faramineuses à glaner par taxations interposées, les jeux se font toujours plus dominants et durs.
Reprenons plutôt les observations, qui permettront à chacun/e d’entrer dans une réalité-source, qui nous mènera vers ce que nous devons entériner individuellement, pour notre avenir global : une ADAPTATION à de nouveaux paramètres d’existence. Mais surtout ne parlons pas de temps, car il est tellement relatif selon nos concepts de la vie.
Observation no 1 : les activités humaines, sources de pollutions et de dégradations environnementales partout dans le monde, sont l’accumulation de l’usage des technologies modernes inversées ou employées de façon extrême, en leur fonctions de cohérence. On pense surtout à la chimie et à la physique dans tous les domaines de la société. Ces activités, sont en train de faire l’objet de réévaluations à grande échelle, avec des innovations à la clé pour corriger ces états de faits. Tout engagement citoyen responsable en partage, prend alors un sens bien plus évident.
Ici les décisions politiques agressives et basées sur un assistanat des collectivités n’ont plus cours. Les élus politiques doivent prendre ici la mesure de leur pouvoir mal placé...Il devient alors urgent de «faire avec» les citoyens et non «pour» eux.
Observation no.2 : le changement climatique est un fait récurrent sur Terre, non sur un à deux siècles de mesures et de probabilités, mais sur des durées en millénaires ! Le changement climatique n’a rien à voir avec les activités humaines, ni avec les variations des climats locaux, qui sont eux de l’ordre de la météorologie.
Le changement dont on parle fait partie d’une série de cycles, à considérer du point de vue global au sein de l’univers et non de la Terre seulement.
Le cycle de Milankovitch étant le plus évident en ce moment (précession des équinoxes, variations des cycle du Soleil – 11 ans et chaque siècle, cycle de Gleissberg) au sein du système solaire et la position de ce dernier dans la galaxie.
Le tout est en relation avec le climat général de la Terre et ses variations gravito-magnétiques dans l’atmosphère, ainsi que le cycle de l’eau à la surface de la planète.
Tous ces cycles – non humains – sont intriqués et s’influencent les uns les autres. Ils fonctionnent assez exactement comme les roues dentées d’engrenages des montres et des horloges. Qui dit cycle, dit retour à un point donné. Et ce point donné, lorqu’il est en conjonction avec l’avancée individuelle d’une, deux, trois roues d’engrenage de différents diamètres, développe une énergie décuplée dans son action.
C’est précisément ce qui se passe aujourd’hui et pour des dizaines d’années encore.
Nous vivons tous ce changement, auquel on DOIT appliquer une seule règle: ADAPTATION. Qu’on le veuille ou non. Aller dans le courant de l’adaptation n’est pas facile quand on a des habitudes. Mais les habitudes n’existent-elles pas pour qu’on les change ?
Observation no.3 : Le réchauffement planétaire. Il n’est qu’une conséquence des cycles mentionnés plus haut. Les récentes canicules de juin et de juillet 2019 ont démontré que les températures locales ont été similaires – en même temps – en des lieux habitués et d’autres non. Comme par exemple à New Dehli et en France du Nord, ou à Koweit City et à Berlin, ou encore à Singapour et à Pékin. La limite du 0° a dépassé les 5'000 m. d’altitude, donc plus haut que le sommet du Mont-Blanc. L’élément feu est présent partout sur la planète sous toute ses formes. C’est un élément de purification pour la Terre. C’est aussi un pic maximal de cycle du Soleil, qui va être suivi par un creux minimum, que les observations mesurent pour la période de 2030 environ.
A nouveau rien à voir avec le taux de CO2et son cortège de taxes et compensations industrielles, avec les activités humaines et autres observations réduites à leur portion congrue de statistiques. Mais l’humain a tant besoin de contrôler la nature, qu’il pourrait se croire capable de vouloir contrôler l’activité solaire ? Que nenni.
Le réchauffement planétaire est incontournable : donc s’il vous plaît, cessons de vouloir abaisser la température du climat via tous les rapports scientifiques, c’est impossible. La régulation se fera d’elle même !
Quel sens donner à tout cela ?
Sortir des chiffres, sortir la tête du cirage des smartphones, se réveiller, inventer des solutions individuelles et collectives, s’adapter aux changements, car ces trois observations ne sont que la pointe de l’iceberg (!) du nouveau paradigme global. Et cette fois, le global sera une réalité vécue et non une théorie. Cette fois alors, nous entrerons dans la danse en conscience avec Gaia, notre partenaire de cohésion et d’évolution cosmique.
Bienvenue au changement d’ordre du paradigme nouveau.
Les grévistes du vendredi, les activistes groupés, les jeunes et les moins jeunes quis’agitent autour de ces questions forment actuellement d’immenses bans de mirages à travers la planète. Une autre pollution encore. Ils décrédibilisent tout action véridique. Et c’est dommage. Car parmi eux se trouvent des novateurs aux idées et solutions belles. Qui sont à même de trouver le terrain propice aux changements effectifs d’habitudes délétères.
Les discours et commentaires de ces foules sont malheureusement très infantiles. Quand ils ne sont pas instrumentalisés. Par des informations (pseudo) scientifiques, économiques ou même gouvernementales. Il est vrai, on pourrait pardonner à ces tout jeunes leur manque de discernement. Mais ils s’approprient la voie publique de manière anarchique. Et c’est plus grave. Ne sachant nullement de quoi il retourne. Et bien loin du droit à l’expression, à l’opinion, et à celui de s’associer en groupe.
Alors soyons clairs et commençons par les utopies dites scientifiques, relayées par les médias en malheureuses «fake news»:lutter contre le climat n’est pas possible. Protéger le climat n’est pas possible. Abaisser la température moyenne n’est pas possible. Ces discours-là sont une invraisemblance qui n’a aucun fondement scientifique. Car les mesures scientifiques, les statistiques et les théories qui en résultent ne prennent pas en compte la durée nécessaire à des valeurs réalistes.
Le climat n’est pas la météorologie.
Le climat n’est pas que le CO2 dans l’atmosphère.
Le climat et ses variations planétaires sont à à évaluer sur des dizaines de siècles et millénaires.
Le climat de la Terre a sa source dans l’évolution du Soleil et sa structure.
Le Soleil est la clé du cycle climatique que nous vivons.
Le Soleil est toujours la clé quand il s’agit de la Vie.
Le Soleil est toujours la clé lorsque l’on parle de conscience et d’illumination.
Les scientifiques qui éludent les données du Soleil et son cycle actuel ne sont pas dans le flux de la réelle vérité.
Nous sommes dans un immense triple cycle : terrestre, solaire, galactique.
Ce qui implique des changements multiples. Dans tous les règnes de la vie sur Terre.
Et la loi principale et universelle qui s’applique est toujours la même : une avancée consciente, une régénération, une reconstruction ne peut s’opérer qu’après la destruction des formes anciennes. Ce à quoi nous assistons tous les jours. En attendant de nous adapter. Le plus vite sera le mieux.
Ce qui DOIT changer sur notre planète, dont le Plan s’arrête à la lettre A, regarde l’environnement que nous modifions par nos actes et habitudes, à dépasser. Alors là les activistes on raison de se bouger. Mais avec les données et informations appropriées qui conviennent à cet engagement-là.
Les pollutions de l’environnement et leurs désastres sont la conséquence évitable du développement économique et industriel des nations. Les risques encourus sont liés à l’ignorance de certains fonctionnements, qui doivent être mieux gérés et assurés.
Certains ont compris qu’ils pouvaient se servir sans restriction ni moralité de ce que la Nature offre gratuitement, en la ponctionnant le plus possible : c’est le crime organisé environnemental !
Il existe à tous niveaux internationaux. Une économie terriblement lucrative et proche du crime de la drogue en termes de chiffres : proche de 200 milliards de dollars.... Les industries du bois (déforestation) ; les industries pharmaceutiques et agro-alimentaires, du pétrole continental et océanique, les industries bio...technologiques, les industries des déchets. Les bénéfices n’ont plus de limites. Mais surtout, les acteurs de cette criminalité se retrouvent très ouvertement lors de réunions internationales où se retrouvent les pouvoirs hyper puissants, pour délibérer des possibilités d’augmenter le nombre de zéros à leurs chiffres d’affaires délictueux, peu importe l’impact environnemental. C’est la «Green Finance».
La criminalité environnementales est très mobile, car elle suit les lois édictées dans les pays, pour les contourner allègrement. De plus, elle s’octroie partout où c’est possible la brevettisation des produits de la nature pour les privatiser. Et couper l’accès de ces mêmes produits naturels aux populations vivant sur les territoires incriminés. Les exemples que l’on connaît bien sont la déforestation en Indonésie (hyper plantations de palmiers à huile) et en Amazonie (champs de soja OGM) et beaucoup plus grave, l’accaparement de milliers de sources dans un nombre croissant de pays pour fabriquer de l’eau en bouteille, et laisser les populations démunies de cette ressource au quotidien. Sans parler de la «logistique internationale des déchets». De la contamination des champs agricoles par les pesticides et autres formules chimiques ou de la brevettisation des semences à usage unique. Et bien sûr de l’expropriation d’immenses territoires, pour l’extraction florissante du pétrole à partir des gaz de schistes bitumineux. Tous ces acteurs industriels sont soutenus par les gouvernements.
Dans ces conditions, la dégradation de l’environnement est effectivement un crime, organisé par des acteurs économiques, politiques, juridiques, scientifiques.
Les individus eux sont de plus en plus conscients de leur impact personnel et font de nombreux efforts pour changer d’habitudes. Mais de crier dans les rues ne change rien, pour l’instant du moins.
La criminalité environnementale organisée (écocrime) est une plaie béante et planétaire, un préjudice majeur d’impunité totale, qui affecte la conscience générale et crée des victimes partout. Et la planète Terre se rebelle au moyen de ses instruments : incendies, tempêtes, inondations, tremblements de terre.
L’interdépendance de ces activités illégales nécessite l’action indispensable et continue d’un cadre juridique surpanational concernant la violation massive des droits environnementaux qui ont un impact direct sur les droits humains. La Cour pénale internationale devrait donc s’activer davantage, puisque Interpol (Police internationale) possède depuis quelques mois un service de traque et détection de ces mafias de l’environnement.
C’est ainsi seulement que la lutte contre les pollutions environnementales auront droit de cité auprès de toutes les populations.
Quant au climat, il va changer le cycle de l’eau, nous invitant à changer encore nos habitudes, parce que après les hausses de températures répétées, il va faire froid.
Et ciblons les vrais enjeux planétaires.
Le mot-clé est adaptation.
sylvie touranne
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Le vrai message du Brexit 24 juin 2016
Oh Good Lord ! L'Europe a changé de visage. Ce n'est pas un hasard si les feux de la Saint-Jean (Baptiste) du solstice d'été ont détruit et consumé des énergies délétères. Ceux qui savent comprendront l'évidence du moment et du lieu.?En se retirant, la Grande Bretagne annonce aux pays membres de l'Union Européenne et au monde entier, que son indépendance politique momentanée est en fait un rassemblement de forces nouvelles pour une meilleure interdépendance démocratique.
La population britannique ne le sait pas encore: malgré un résultat des votes très proche de la moitié (l'âme nationale est de caractère dual Gémeaux en astrologie synthétique), elle a sacrifié à l'intérêt supérieur général de la planète "Politique", pour éviter une débâcle globale et planétaire, entamée depuis des décennies, dont la roue tourne à vide ou aux trop-pleins des arrogances de pouvoirs.
Merci ! Merci à la population britannique de s'être engagée autant. Même si les débordements émotionnels de certains ont dépassé la maîtrise habituelle des relations de gentlemen. Dont l'épisode dramatique s'est terminé par la mort de la députée parlementaire Jo Cox. A nouveau un non-hasard. On retiendra son nom pour la postérité, comme celui d'un sacrifice pour la démocratie tolérante et consciente, multiraciale et ouverte à toutes les tendances religieuses que représente cette nation britannique hautement civilisée, mais que l'on rabaisse toujours à la quantité de litres de bière, de décibels, de manipulations financières et autres incivilités footballistiques, par des medias avides d'audimats et de bénéfices nets immédiats. Ce message-là ne passe plus tant il est négatif.
Le Brexit est un autre message qui ne passe plus non plus, et il s'adresse à cette Europe pseudo-unie, dont les pouvoirs technocratique et bureaucratique en haut-lieu a entraîné depuis plus de quinze ans (voir sur ce Blog, en seconde partie-Archives, l'article "L'Europe tremble", décembre 2011) le mépris de l'entité citoyenne de ces femmes et hommes engagés, qui veulent participer à tout prix à cette amitié démocratique qui nous relie par la paix au cœur et par la créativité de tous les instants. C'est-à-dire l'émergence de la véritable application politique à la marche des affaires collectives.
Mais non, au fil des années et des élections, les dirigeants n'ont pas vu le vent tourner vers la nouvelle civilisation qui s'installe. Et ne parlons pas des extrémistes à la langue de fiel, récupérateurs du passé.?Tous se retrouvent à Berlaymont remplis de certitudes économico-commercialo-financières ultra-réglementées et statistiquement imparables, pour faire avancer l'image d'un continent réconcilié après des siècles d'histoires belliqueuses. A la fin du XXe siècle, c'était la manière de ceux dont l'ADN est encore tellement fortement imprégné des cendres de deux guerres mondiales, de pouvoir placer le mot-clé "ensemble" aux avant-postes de la construction d'une possible union européenne. Les souvenirs de ce passé sont tellement brûlants chez certains, qu'ils ne peuvent s'autoriser à changer de mentalité. Humainement et psychologiquement, c'est normal.
Ce qui est moins normal est le fait de continuer à imposer cette mentalité et leur pouvoir individuel. Trois générations après la fin des hostilités mondiales. A des masse de citoyens libres en esprit (environ 700 millions) et férus d'innovations sociales, que l'on n'écoute pas dans les commissions, et qui sont laissés au bord des routes de l'évolution participative. Voyez cette image et comparez-là, au dur chemin des migrants et réfugiés, qui affluent aux portes de l'Europe complètement dépassée par ses vieux schémas.?C'est entre autres, cela que la Grande-Bretagne a refusé de continuer à cautionner.
Rappelons que le Commonwealth succédant à l'Empire britannique est une fédération de nations libres et autonomes, dont le modèle a été présent depuis le début pour l'idée d'une Europe unie. Déjà en 1943 au cœur de la seconde Guerre mondiale, l'Italien Altiero Spinelli proposait un Mouvement fédéraliste européen, à partir du modèle anglais. Puis en 1946, Winston Churchill alors Premier Ministre britannique, proposait le modèle helvétique de confédération d'états autonomes avec pouvoir décentralisé (les cantons), apportant bien-être et stabilité pacifique.?Mais l'Europe était tellemente détruite au propre et au figuré, que les arguments économiques des dirigeants d'alors constituèrent la priorité et le salut de sa reconstruction solidaire. Ce modèle a été entériné par l'avènement de la monnaie euro fin 2001, de façon à installer des échanges commerciaux durables.?Sauf que maintenant, l'Union européenne des 28 état-membres, réduits à 27 par le tsunami du Brexit - pourquoi faut-il toujours le besoin d'un tsunami d'une nature ou d'une autre pour changer le niveau de conscience? - cette union donc, pour être validée en tant que véritable entité politique, nécessite l'absolue transformation des mentalités, en intégrant - et le mot n'est pas choisi à la légère - la participation identitaire de tous les citoyens au projet de la véritable unité européenne vécue par chacun, et non pas seulement celle des élus.
Une fédération des nations européennes pourrait alors voir le jour, selon la vision du Commonwealth ou de la Confédération helvétique, où les régions respectées pour leurs particularités pourraient allègrement innover, vivre, échanger, sous de meilleurs auspices.?Cela s'appelle évoluer ensemble, solidairement pour une unité de bien, de beau, de vrai au sein d'un monde plus spirituel.?Et au lieu de les critiquer, aidons les Britanniques à passer le cap des temps difficiles, en soutenant leur économie nationale. Nous leur devons bien cette solidarité-là.